Nouvelle ville, nouvelle fac : 7 réflexes sécurité pour une rentrée étudiante en toute confiance
- alex5103
- 2 août
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 3 août
La rentrée universitaire, c’est souvent un grand saut : nouvelle ville, nouveau logement,
nouveaux repères.
Mais pour beaucoup de jeunes femmes, ce changement de cadre s’accompagne d’une forme d’inquiétude, surtout quand on se déplace seule, qu’on rentre tard ou qu’on découvre un quartier peu familier.
Voici 7 réflexes simples mais essentiels pour une rentrée plus sereine et sécurisée.
1. Apprends à connaître ton environnement
Avant de sortir, repère :
les itinéraires bien éclairés
les commerces ouverts tard
les transports disponibles le soir
Utilise Google Maps ou CityMapper pour identifier les zones “moins engageantes” et évite-les la nuit.
2. Préviens toujours un proche
Un rapide message à un(e) ami(e) ou parent :
"Je pars de la fac, je rentre en bus. Arrivée prévue vers 19h."
Cela permet d’alerter rapidement si quelque chose ne va pas — surtout en soirée.
3. Garde une oreille libre dans la rue
Les écouteurs isolent des bruits ambiants : circulation, pas derrière toi, appel à l’aide, etc.
L’idéal : un seul écouteur, volume modéré.
4. Emporte une alarme personnelle
En cas d’agression, harcèlement ou danger, une alarme anti-agression comme Mon Hibou peut :
déclencher une sirène de 135 dB
faire fuir l’agresseur
attirer l’attention des passants
et rassurer tes proches
Elle est compacte, discrète, rechargeable, et s’attache à un sac, une trousse ou un trousseau.
5. Verrouille toujours ton logement, même pour 5 minutes
Tu sors sortir les poubelles ou récupérer un colis ? Verrouille la porte. Les cambriolages ou intrusions en résidence universitaire sont souvent des actes opportunistes.
6. Reste vigilante dans les transports
Les rames vides ou les stations désertes sont à éviter. Garde toujours ton sac contre toi, ton téléphone bien rangé, et ne t’endors pas seule si tu es fatiguée.
7. Apprends à dire non
Tu n’as pas à accepter :
d’être suivie jusqu’à chez toi
une main posée "par accident"
un “accompagnement” non sollicité
Ce n’est pas “rien”, ce n’est pas “dans ta tête” : c’est intrusif et c’est grave.
La liberté ne devrait jamais rimer avec insécurité
Tu n’as pas à choisir entre vivre ta vie étudiante à fond et te sentir en danger.
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